L'Aquò d'Aquí d'octobre évoquera l'année écoulée avec le député européen François Alfonsi. Celui-ci insiste sur la mobilisation prévue le 10 octobre, avant un rendez-vous proposé au Ministère de l'Education. Partout en France auront lieu des rassemblements visibles.
Une cinquantaine de Flamands a rejoint à Paris samedi 30 novembre le cortège formé par une quarantaine d’associations de défense des langues régionales. Objectif : sauver les langues régionales, dont le flamand, en danger à cause de la réforme du lycée.
Plus de 500 personnes sont rassemblées ce samedi 30 novembre 2019, à Paris, devant le ministère de l’Éducation nationale. Venues de Bretagne, de Corse, d’Occitanie, d’Alsace, du Pays-Basque… elles manifestent contre la réforme du lycée et du baccalauréat qui « fragilise » l’apprentissage des langues régionales.
Une cinquantaine de défenseurs du flamand ont pris part à la manifestation de défense des langues régionales, samedi, à Paris, à proximité du ministère de l’Éducation nationale. « On n’a pas été écouté », dénonce Jean-Paul Couché, président de l’Institut de la langue régionale flamande.
Des manifestants venus de toute la France se sont rendus ce samedi sur Paris afin de faire entendre leur voix devant le ministère de l'Éducation. Ces derniers entendaient notamment faire remonter leurs inquiétudes au sujet du devenir des langues régionales.
Près de 500 personnes ont manifesté près du ministère de l'Éducation nationale samedi à Paris. Le rassemblement, organisé par le collectif "Pour que vivent nos langues" visait à défendre les langues régionales, menacées, selon les participants, par la réforme du bac.
Plusieurs associations militant pour les langues régionales se réuniront samedi près du ministère de l’Éducation pour dénoncer une situation devenue selon eux «catastrophique» depuis la réforme du lycée de Jean-Michel Blanquer. Elles affirment avoir noté, cette année, une diminution allant de 20 à 50% des effectifs d’élèves en occitan dans certaines classes, et de 30% en corse.
La réforme du bac menace les langues régionales, l'occitan, le basque, le breton, le corse, l'alsacien, le flamand, le catalan, les créoles. Une manifestation est prévue ce samedi devant le ministère de l'Education à Paris organisée par le collectif "pour que vivent nos langues".
Parties des quatre coins de l’Hexagone, les associations de défense des langues minoritaires vont manifester à Paris, ce samedi 30 novembre. Une mobilisation à plusieurs voix pour exprimer l’inquiétude des territoires.
Ce matin dans les Mots d'Oc sur France Bleu Occitanie, on vous parle de la situation de l'enseignement des langues régionales et en particulier de l'occitan. Comment ça se passe dans l'académie de Toulouse ?
Les langues régionales sont en voie d’extinction selon l’Unesco ! C’est pourquoi de nombreuses organisations culturelles se sont données rendez-vous ce samedi devant le ministère de l’Éducation Nationale afin de manifester contre l’inaction du gouvernement.
epuis la rentrée de septembre, 40 associations de défense des langues régionales en France se sont unies dans un collectif avec l’appui de parlementaires français et européens pour protéger l’enseignement scolaire des langues régionales, « mis à mal par les dernières réformes du ministère de l’Éducation nationale, comme le souligne l’Institut de la langue régionale flamande.
Face à l’érosion de ces idiomes, des élus et des associations manifesteront samedi à Paris devant le ministère de l’Éducation
Le parallèle peut paraître osé, certes. Qu’importe. À l’heure où l’on parle de plus en plus d’extinction massive de la biodiversité, les défenseurs des langues régionales, et notamment de l’occitan-langue d’oc, n’hésitent pas à dénoncer les graves dangers qui pèsent aujourd’hui sur ces langues devenues minoritaires. Selon un inventaire établi par l’Unesco…
AIX. “Il est temps de nous révolter pour faire reculer le rouleau compresseur jacobin” a déclaré le député européen François Alfonsi, préparant la manifestation contre "l'enterrement des langues en danger de disparition".
Le Collectif “Pour que vivent nos langues”, regroupant une quarantaine d'associations d’enseignement et de promotion des langues régionales en France, appelle à une mobilisation à Paris ce samedi. Elles dénoncent une mauvaise volonté de l'Etat et parlent d'un "linguicide".
Le collectif Pour que vivent nos langues, lancé par le député européen François Alfonsi et le député du Morbihan Paul Molac, qui réunit une quarantaine...
Pour défendre les langues régionales au lycée, un collectif national appelle à manifester, à Paris, le 30 novembre. Qui compose le collectif? Le collectif est né le 12 septembre à Paris sur impulsion de l'eurodéputé François Alfonsi.
L'euro-député corse François Alfonsi est à l'initiative d'une manifestation d'envergure contre la loi Blanquer qui aura lieu le 30 novembre prochain à Paris. Une quarantaine d'associations a déjà répondu à l'appel pour soutenir l'apprentissage des langues régionales.
Si, aujourd’hui, la France voulait entrer dans l’Europe, elle devrait signer la Charte européenne des langues régionales mais elle en est dispensée en tant que membre fondateur. Ce qui est sûr, c’est qu’aucun autre pays d’Europe de l’ouest n’est aussi rétrograde à l’égard de ses langues régionales.
Pour dénoncer la politique “linguicide” du gouvernement français, le collectif “Pour que vivent nos langues” donne rendez-vous devant les bureaux du ministère de l’Education nationale, samedi 30 novembre à 11 heures. Des bus sont organisés depuis le Pays Basque.
« Nos daissarem pas tòrcer » (on ne laissera pas faire !) affirme le président de la FELCO (Fédération des enseignants de langue et culture d’Oc) Yan Lespoux dans la chronique qu’il livre ici à Dis-Leur ! Il appelle notamment à signer une pétition de soutien et à manifester le 30 novembre devant le ministère de l’Education, lors d’un
Le collectif, "Pour que vivent nos langues" a pour but de valoriser l'enseignement linguistique régional à l'école. 37 organisations culturelles et linguistiques ont signé l'appel à mobilisation qui prend la forme d'une pétition.
À l’initiative de deux députés, Paul Molac et François Alfonsi, le collectif « Pour que vivent nos langues » lance un appel à la mobilisation générale pour dénoncer « des politiques linguicides », et valoriser l’enseignement de ces langues régionales. Une manifestation sera organisée, samedi 30 novembre 2019, devant le ministère de l’Éducation nationale.
Le collectif Pour que vivent nos langues vient de mettre en ligne une pétition appelant à la « mobilisation générale » contre « la politique linguicide » du ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer.
Le collectif Pour que vivent nos langues, qui réunit notamment des associations de défense du breton, vient de mettre en ligne une pétition sur le site Change.org...